Compte Rendu de la séance IV le 26/10/2009

Publié le par groupe cremel

LAMARQUE Sophie

 

ZALESKI Isabelle

 

PÂRIS Maxime

 

02/11/2009

P1 – Groupe F. Crémel

Compte Rendu

de la séance IV du 26 Octobre 2009

de Projet 1

 

Tout d'abord, Mme Crémel a évoqué la propreté des lieux. En effet, les tables et les locaux du bâtiment Callot seraient dégradés par les « Première Année ». Mme Crémel nous a donc demandé de ne pas abimer les locaux et de laisser les tables à leur place le soir venu.

Arnaud Claudel était absent, Naz Ali était en retard. Elle n'a pas effectué de travail cette semaine car elle était à la recherche d'un appartement.

 

Organisation chronologique de la séance.

 

13h10 : début de la séance de P1

13h45 : première réunion de groupe / début de la lecture du compte-rendu du 19 Octobre 2009

14h15 : début de la correction individuelle des travaux

15h15 : départ des deux premiers groupes pour dessiner dans Paris

16h00 : arrivée du second groupe pour la correction – départ du troisième groupe pour dessiner

17h00 : arrivée du dernier groupe pour la correction

17h45 : seconde réunion / présentation des références communes

19h00 : fin de la séance

 

Séances de communauté.

 

Mme Crémel a tout d'abord regardé les cartouches des plans exposés. Certains n'ont toujours pas compris la  consigne.  Il faut une bande de 3 cm de hauteur en bas du page, sur toute la longueur de la  page. Ce cartouche doit être partie prenante de la composition. Il faut hiérarchiser les informations par la taille, les épaisseurs, la  position. Tentative de Sophie à ce sujet.

Il faut inscrire, en premier, le titre du plan, puis les informations liées au plan (échelle et Nord), « P1 groupe Crémel », son nom, son prénom et enfin la date. Des normes personnelles peuvent aussi être marquées dans la partie information du plan. Pour mieux se rendre compte du travail à effectuer, il ne faut pas hésiter à aller dans les bibliothèques voir  les nomenclatures et classements.

Le cours de Lucas Merlini, va nous aider et nous permettre de mieux réfléchir aux problématiques liées aux destinataires des plans et à l’organisation des informations  dans celui-ci.

La notion de « représentation de la territorialité » est à étudier, et pour cela, nous devons examiner le travail de Jean Marc Besse.

             Actualités :

Pierre Esnault a créé le blog, et ce dernier est prêt à fonctionner. Il en est l'administrateur et seul lui peut accepter ou non la mise en ligne d'un document, évitant ainsi d'éventuelles perturbations. Néanmoins, chacun peut y accéder et demander à mettre en ligne ses travaux et recherches. L'adresse du blog est la suivante : P1.cremel.over-blog.org

Il a été demandé de construire une entrée précise dans le blog pour les éléments qui nous sont communs.

              Programme des futures séances :

2 Novembre 2009 : Il est prévu une sortie à la cinémathèque en première partie d'après midi. L'entrée coûte 3,5 euros par personne, l'école devrait prendre en charge la moitié du prix. Il est demandé de s'y rejoindre à 13h par nos propres moyens.

9 Novembre 2009 : Une visite de Paris est organisée par Mme Crémel. Prévoir ses chaussures de randonnée!

16 - 23 Novembre 2009 : Nous devrons apporter des compte-rendu des visites effectuées les semaines précédentes.

              Mme Crémel nous a demandé, de plus, de visiter l'exposition  La Subversion des images  au Centre Georges Pompidou, présentant des photographies de Surréalistes. L'objectif est de saisir comment faire travailler le média pour arriver à dire la chose. Un compte-rendu est attendu à l'issue de la visite sous forme d'un petit article, de 600 à 1000 caractères, illustré ou pas. L'article peut traiter d'un thème, d'un personnage ou d'un groupe présent à l'exposition. Ce travail doit être absolument rendu avant la fin du mois de Novembre.

               En ce qui concerne ce jour, nous devions traiter par dessin des choses fugitives et immatérielles : questions climatiques, mouvement, passage, heure, lumière, vitesse, … Le principe était le même que la semaine précédente, dessiner en marchant, sans s'arrêter, en essayant de toujours avoir le crayon en mouvement sur la feuille. Mouvement de déséquilibre important pendant l'exercice.

              Mme Crémel nous a indiqué de regarder la longueur de rues de Paris dans l'ouvrage Dictionnaire historique des rues de Paris, cité en annexe bibliographique, afin d'avoir plus de connaissances sur l'origine du nom des rues, voir les éléments d'architecture remarquables de celles-ci, et leurs dimensions. Cela nous permet d'éviter de compter nos pas. Mme Crémel nous a invité aussi à nous rendre sur les hauteurs de Paris afin d'observer la morphologie urbaine. Quelques exemples ont été cités comme le Panthéon, Montmartre, la tour  Montparnasse. Il ne faut pas non plus hésiter à demander aux gardiens d'immeuble de monter sur les toits de leur immeuble pour observer l'environnement urbain et savoir comment il est composé.

 

 

Analyse du travail de composition.

 

Le travail de la semaine était de mettre en forme 3 plans et de faire rassembler les photographies de nos dessins autour d'un plan. Le « premier travail » portera sur le recollement des trois plans et le « second travail » sur l'assemblage des photographies de dessins.

           Lors de ces corrections individuelles, le travail rendu était dans l'ensemble assez bon et hétérogène. La question du cartouche se pose toujours. C'est un élément important à améliorer. Souvent le titre est oublié. Pour ça, il faut regarder les titres dans les livres d'art, les livres pour enfants ou dans les livres anciens.

             L'affiche de présentation d'Amina Sabri est un exemple pour le reste du groupe au niveau formel.

             L'itinéraire va devenir, dans quelques semaines, une sorte de carte, de plan spécial qui sera formé à partir des plans que nous créons en ce moment.

             La question de la « spatialité » a été abordée à de nombreuses reprises lors des corrections, selon madame  Cremel les travaux ne reflètent  pas encore de perception de l’espace urbain. Ce concept a été décrit particulièrement lors de la correction de Caroline Jousset.

C'est l'écart entre les différents éléments qui donne la spatialité, les modes d'accroches des objets, ce qu'il y a entre, non pas la géométrie ( qui permet seulement de décrire l'espace). La spatialité est donnée par l'air, le jeu entre les corps, les objets , les matières.  Il faut représenter la spatialité urbaine qui donne un cadre au mouvement : c'est une question très difficile mais qu'il faut aborder dès le début des études car c'est elle qui construit la pensée architecturale. Il faut toujours avoir ce souci en tête. L'espace est absent, fragile, fluide mais pourtant toujours là, comme une forme d'esprit, de fantôme que l'on doit attraper, ainsi notre travail consiste à construire des machines pour attraper ces fantômes.

 

 

Amina Sabri  

Premier travail :Constitution d'une affiche très grand format. Travail formel original et très bien géré malgré quelques maladresses. Cependant les textes sont à revoir et attention aux fautes de français.

Second travail :Des fenêtres ouvrent sur dessins, des espaces blanc ou noir pour montrer la difficulté de dessiner en marchant. L'idée est excellente mais la réalisation n'est pas à la hauteur. La relation entre les différentes fenêtres et la notion de plan n’est pas assez explicite.

 

Pierre Esnault

Premier travail :Problème de mise en forme des trois plans, il faut une forme qui rassemble les choses.

Second travail :Pierre a voulu représenter Paris plus précisément, notamment par un travail sur la Seine. Malheureusement, en faisant ça, il perd de la fluidité, il est plus agressif qu'auparavant. Pierre doit aussi ancrer ses dessins par rapport à des repères. Pierre doit dessiner quotidiennement. « il faut regarder les choses jusqu'à ce qu'elles sortent »! effort réalisé sur la cartouche.  Pierre doit aussi regarder le travail de GREENAWAY (Peter), Meurtre dans un jardin anglais, 1982.

 

Chloé Zimmermann

Premier travail :Travail sur la boite, choix affectif qui est récurrent chez Chloé. C'est un récapitulatif artistique de la démarche. Cependant, Chloé doit passer au plan !

Second travail :travail de décalquage des dessins pour créer la morphologie urbaine. Mais un manque de lien entre le dessin initial et son utilisation était visible. Il y a une relation entre chaque élément du plan mais cela n'est pas assez approfondi. L'idée est bonne mais la réalisation n'est pas au rendez-vous,  le cartouche est à revoir aussi. Chloé doit réfléchir sur l'idée de fragments, de liens.

 

Margaux Bougon

Premier travail :

 Les trois plans se suivent de sorte à ce que la Seine apparaît comme une rivière. La Seine ne peut être choisie comme ligne directrice car elle ne le « dirige ». La mise en page est insuffisante, il aurait fallu coller cet alignement sur un support commun en y ajoutant le cartouche.

Second travail :

Il y a une vraie construction de la ville en raison du choix d'une succession de couches : support blanc, Seine en papier noir, ponts par dessus en papier blanc, puis collage vertical des dessins. L'idée est très intéressante, à poursuivre. Margaux doit s'entrainer à dessiner quotidiennement.

 

Maud Schmiel

Premier travail :

Le changement de police entre chaque texte explicatif est une bonne idée, mais cela gène légèrement la lecture. Le travail diffère de celui de Margaux Bougon, car ici le fleuve est utilisé comme un logo commun aux trois plans. Le cartouche est à revoir. Maud doit se renseigner sur le graphisme des enluminures.

Second travail :

Les dessins du quatrième plan sont démultipliés en raison de la marche qui a conduit Maud à changer constamment de point de vue. C'est intéressant mais cela brouille le plan car les dessins ne touchent plus le sol : le sol n'est pas assez affecté.

 

Victor Clayssel

Premier travail :

Le recollement des trois plans a déjà été réalisé la semaine dernière par Victor.

Second travail :

Le plan est composé d'un rassemblement et une mise en page des dessins. Le rapport à la ligne d'horizon est très intéressant en raison du bon alignement des dessins. Cependant, la composition est fondée sur des impressions et n'est pas harmonisée. Il aurait fallu découper les dessins afin d'unifier le plan. Il y a trop de blanc, il faut exploiter le vide.

 

Houda Amrani

 

Houda a refait le plan vérifié demandé de la semaine dernière. La thématique choisie est la densité de population, en souvenir de la densité de population marocaine, son pays d'origine. La thématique choisie est empreinte d'affectif, cependant cela ne se ressent pas dans le plan. Il faut ajouter du personnel, de l'affectif dans la représentation.

Premier travail :

Le recollement des plans est composé d'un alignement des quatre plans (imaginaire, mémoire, les deux vérifiés). Il faut dépasser la volonté de présenter une évolution entre les différents plans, il faut montrer une ligne directrice entre ces quatre plans. Le cartouche est clair, il manque cependant un titre.

Second travail :

Non réalisé en raison de manque de temps.

 

Sophie Lamarque

Premier travail :

Installation symbollique des plans : plan mémoire au niveau de la tête, plan imaginaire au niveau du coeur et plan vérifié au niveau des pieds. Le support est peu pratique car il faut 2 personnes pour le tenir. Acceptable mais moyennement efficace car trop d'explications pour trouver le lien.

Second travail :

Sophie s'est inspirée de ses autres plan en essayant d'éviter le plan trop conceptuel. A fait le plan de base et s'est inspirée du livre. Toutes les partitions ne sont pas justes, immmeubles sont représentés comme des illustrations, il faut trouver des éléments mesurables. Elle a choisit de dessiner des éléments qui se retrouvaient régulièrement sur l'itinéraire, afin de pouvoir les dessiner aisément en marchant.

 

Florian Allard

Premier travail :

Le recollement des plans se compose d'un alignement vertical des trois plans, dans une thématique « du fantasmé à la réalité ».

Second travail :

Les dessins réalisés en marche sont présentés sur un plan. Les dessins sont assez compactes, agglomérés, il y a une relation à l'objet très précise, il faut garder cette direction. Cependant, le plan est très peu clair, il n'y a aucun repère visuel, c'est trop morcelé. Il faut également revoir le cartouche. Florian doit réfléchir à la notion de décor, se renseigner sur le travail des cartographes arabes et sur les miniatures Mongholes.

 

Valentin Bodenghien

Valentin a refait son plan vérifié suite aux critiques de la semaine précédente. Ce nouveau plan

est construit à partir de ses propres expériences et d'images extérieures : image d'un cœur avec ses artères pour représenter les routes aux abords du périphérique. Des noms de lieux sont écrits avec des typographies différentes selon qu'ils sont placés rive gauche ou rive droite, perspective intéressante mais pas tout à fait au point

Second travail :

le fait de dessiner en marchant cache au regard de nombreux objets, les dessins sont donc très resserrés. Un dessin qui avait les caractéristiques graphiques d'un plan a été intégré au dessin comme continuité du plan

Les dessins sont trop plats, pas de profondeur, la dynamique de la marche n'est pas sentie. Il faut faire attention au contexte, chaque objet est amené par d'autres, il faut avoir la démarche d'un archéologue, mettre les choses en lien les unes avec les autres.

 

Alban Mallet

Premier travail :

les plans constituent la base d'une pyramide en papier qui est  une métaphore des premiers projets qui aident à construire le futur architecte.

Second travail :

 les croquis ont été scannés et groupés sur fond d'un plan détaillé de la ville

Le rapport à la forme est bien tenu dans le dessin, mais il y a un problème assez important avec le sol, il devient un socle sans matière. Il faut donner une fondation aux objets de la ville, complexifier plus. On voit un progrès par rapport aux autres dans le dessin de l'immatériel, il faut cependant dessiner plus grand prendre des formats de la longueur du bras pour libérer le geste.

 

Isabelle Zaleski

Premier travail: petit livre en accordéon, ce qui permet le rajout.

Second travail: Attention à ne pas plonger dans le narratif! Les dessins sont hors échelle et décontextualisés ce qui noie la ville dans des détails de timbre poste. Le lien entre les dessins demanderait plus d'attention pour les recoller entre eux, pour qu'ils entretiennent un véritable lien. Il n'y a pas de différenciation des espaces. Le travail sur la ville doit être moins illustratif.

Travail à faire pour la prochaine fois: dessiner ce qui est dans le dos, essayer de le sentir.

 

Caroline Jousset

Premier travail en format A2, noir et gris uniquement :  le problème est que les plans sont trop étanches les uns par rapport aux autres, du fait des bandes utilisées pour les cerner. Les plans sont comme mis en étiquettes, il faut plus les lier, peut être les découper et les entrelacer.

La mise en page avance mais cela  manque de dynamisme et les éléments sont trop étanches, ce qui minorise le travail précédent. Le titre est correct et la typographie est intéressante mais ne rend pas assez compte du travail.

Second travail: les dessins sont placés selon l'angle de vue, parfois totalement à l'envers, ce qui donne une idée du déplacement. Cette idée marcherait mieux en dessinant ce qu'il y a  autour, il n'y a pas de notion de spatialité pour l'instant.

Jean Huet

Le plan vérifié est inachevé à cause d'un long travail sur la mesure des espaces et du temps sur le parcours. Il aurait fallu se défaire de la volonté trop ambitieuse de représenter la totalité du parcours par des mesures aussi précises, en ne représentant qu’une part du parcours par exemple.

Second travail :

 les dessins sont attachés à la verticale sur le plan,  pourquoi ne pas redessiner ce plan en relief vu du ciel? Il n'y a pas encore de perception de la spatialité urbaine qui permet de lier les choses: chaque dessin est isolé, on pourrait faire ce plan sur un ballon de baudruche pour orienter les vues différemment. Il faut aller plus loin dans la recherche du plan et de la fluidité.

Il ne faut pas être trop ambitieux pour le plan vérifié, avoir un projet plus juste dans le temps imparti.

 

Maxime Casemajour

Second travail :

 un itinéraire est indiqué par des lignes fléchées sur les dessins pour montrer les trajets effectués, on semble ainsi parcourir l’espace représenté, ce qui est une idée très intéressante. Les dessins sont mal faits et hésitants mais très bien choisis par rapport au trajet et à ce qui attire le regard. Le sens de passage n'est cependant pas assez marqué dans le dessin, c'est bien parti mais il n'y a pas assez de travail.

 

Perle Van de Wyngaert

Premier travail :L'enchainement des forme va naturellement vers Perle. Néanmoins, elle doit travailler sur la substance interstitielle. Cartouche oublié et rajouté au dernier moment.

Second travail : Mise en forme à partir de la Seine, de la Bercy jusqu'à l'école.  Elle a essayait de trouver un rapport avec ce qu'il y avait avant, symbolisme important.

 

Maxime Pâris

Premier travail : La Seine est un repère, ainsi que le pont de Sully  et le périphérique. Intellectualisation de la Seine (contrairement à Margaux Bougon). Maxime doit se renseigner sur le travail de Baudouin.

Second travail : L'illustration du parcours et surtout des visions qu'il en a eu. Dessin comme Florian, trop compacte et sorti de son contexte. Maxime doit travailler à remettre les édifices dans leur contexte. Cartouche clair, et mise en page aggloméré.

 

 

 

 

Références 

 

Caroline : Lecture d’Italo Calvino, « les villes invisibles ». Espèces d'espaces, citation de Perrec.

Perle : Vidéo d’animation d’une fresque urbaine Muto sur  le site www.BluBlu.org

Chloé : vinyle de 1925. Numéro : V30 S 803  « Opérettes Coquetèle », Hubert Rostaing et son orchestre. Edition Vega.

On découvre une façon à part de se plonger dans un ville en écoutant ces chansons, il est important de voir quelles sonorités sont liées à certains espaces.

Alexandre Jacobs : Tachenes : squat. Endroit familier. Beaucoup d'artistes y travaillent. Ils travaillent ensemble sur un lieu particulier. Chacun est responsable de son travail. ALLER A BERLIN

Houda: Présentation du  Voguéo, on y accède avec le pass navigo. C’est un moyen de transport RATP. Il est intéressant de revenir du parcours avec, car cela offre une vue d’ensemble d’Ivry  à Austerlitz.

Victor : Photographe Eugène ATGET pour ses vues de Paris.

Valentin : Voir le making of des seigneurs de anneaux , 3 et 2 pour les maquettes des tours d'Ornak et de Minastirit, ainsi que la ville d’Endoras construite à échelle 1 sur une colline.

Il faut également aller voir le travail de maquettes pour Star Wars.

ACWL, Indochine, un clip vidéo à voir sur youtube. Chanson : quand viendra l'heure.

Pierre :Plan industriel qu'il apportera la semaine prochaine.

Comme réflexion sur le plan , chapitre sur les villes, p.19 dans Espèces d'Espaces. Intéressante définition des limites de la ville. Éditions Gallilée

Amina : Vidéo d’animation d’une marche dans un lit qui représente l'immatérialité d’un parcours qui se fait sur place.

clip vidéo. Jeune fille, histoire de her morning elegance, (sur youtube)

Naztasia :Artistes qui travaillent sur les questions d'espace : Brian messina

Paolo Coelho. Collection de petites histoires, « like a flowing river »

Jean : vidéo. Immeuble blanc sur lequel on fait apparaître par projection des éléments donnant l’illusion d’un relief, doublé d’un jeu sur les sons.

Alban : Vidéo d’animation réalisée à partir de papiers dépliés et repliés, ce travail peut servir de référence à Amina pour son plan à partir des dessins du parcours.

Isabelle : photos Joachim Mogarra, série « le gîte et le couvert »,transformant en architecture des éléments de vie quotidienne. Artiste représenté par la Galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, 36 rue de Seine.

Maxime :Lecture de into the wild, Message pour les architectes qui  essayent toujours dans l'habitat de construire des éléments qui ne sont pas forcément durables et vivables pour les autres et pour nous mêmes.

Maud, Sophie, Florient et Margaux n’ont rien apporté.

 

 

Annexe

 

L'idée de cette annexe est de regrouper l'ensemble des ouvrages/films/sites cités par Mme Crémel au cours de la séance mais aussi de toutes les séances, de façon à avoir à la fin, une véritable liste, qui permet en un regard de connaître tous les livres essentiels, et savoir où les trouver rapidement.

 

Bibliographie :

Mme Crémel nous a invité à feuilleter les livres suivants :

Centre de Création Industrielle (CCI), Cartes et figures de la Terre, Centre Georges Pompidou, 1980, Paris. Disponible à la bibliothèque de Beaubourg notamment, sous la côte 911.1(091) CCI . (évoqué le 26/10/09)

HILLERET (Jacques), dictionnaire historique des rues de Paris, 2 tomes, les éditions de Minuit, première édition en 1961, Paris. Il est disponible à la bibliothèque de ENSAPM. (évoqué le 26/10/09)

PONGE  (Francis), Le parti pris des choses, p.120, Paris, Gallimard, coll.NRF Poésie, 1942. Edition de 2000 disponible à l'ENSAPM, sous la côté 82 PON.  (lu le 6/10/09)

 

Sitographie :

- DUPUIS BOURRET (Andrée Anne), http://blogaadb.blogspot.com , administrateur inconnu

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